Nicaragua
Río San Juan, fleuve du bout du monde.
Río San Juan. Un fleuve mythique, il paraît, et dont on ignorait jusqu’à l’existence avant d’arriver au Nicaragua. Il se dit aussi que les villes ont des allures de far-west qui ne se dévoilent qu’en ferry. Un objectif simple, descendre le fleuve sur deux cent kilomètres et déboucher sur la côte caraïbe. La tentation est grande d’aller y faire un petit tour. Et se laisser glisser dans les méandres de ce fleuve du bout du monde.
Nicaragua, unos días antes del 18 de abril.
Carte postale de Managua
Tout le monde vous le dit, à Managua, il n’y a rien voir, rien à faire. Une ville anarchique, suffocante, sans intérêt. Avec une si mauvaise réputation, on aurait presque envie d’aller s’y frotter et de faire sa propre opinion. Parce que les villes à la mauvaise réputation, on sait bien ce que cela signifie à Marseille…
Petite histoire du Nicaragua
Nicaragua. Sandino. Révolution. Des mots qui sommeillent au fond de soi, qui donnent envie d’aller à la rencontre de ses vieux rêves d’adolescence, de se frotter à la réalité du pays. Mais avant de partir sur les chemins de la révolution, se replonger dans son Histoire mouvementée depuis la conquête des Espagnols jusqu’à l’omnipotence de Daniel Ortega, son ex-guérillero devenu président à vie ou presque…
Musique sans frontière
Tapachula. Ville proche de la frontière du Guatemala. Moite. Sans grand intérêt. Tout autant que cette pluie tropicale qui ne rafraîchit même pas. En route vers le Nicaragua. En bus international. Entre temps, il nous faudra traverser quatre pays. Ou plutôt, ces zones de non-droit, les postes de migration. Juste pour avoir un timbre d’entrée ou de sortie selon le cas. Une perte de temps, d’argent mais c’est aussi un voyage qui nous donnera un petit aperçu de l’Amérique centrale : Guatemala, Honduras, Salvador et Nicaragua.